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L’électromobilité selon BMW : repenser la conception de la voiture dès le début, à 360°

La route parcourue est longue dans le rétroviseur de BMW Group. L’électromobilité, la marque allemande la conçoit depuis au moins 50 ans. D’ici 2030, le groupe projette de réduire de 40% ses émissions de CO2 par voiture sur la totalité de son cycle de vie. Une démarche RSE holistique et multidirectionnelle : environnementale, sociétale et sociale.

La direction « Développement durable » de BMW Group a été créée en 1973. La même année, sa toute première voiture électrique ouvre le marathon des J.O de Munich. L’électromobilité n’est donc pas nouvelle pour le constructeur allemand.
En 2013, la BMW i3 est lancée. Elle était la première citadine premium de la marque. Depuis, du chemin a été parcouru et BMW ne cesse d’affirmer son engagement sur l’ensemble de sa chaine de valeur. 

Un engagement cohérent, du sourcing au recyclage de ses véhicules électriques

Son slogan [RE:] illustre la nouvelle approche circulaire de la production automobile du groupe. Elle s’articule autour de quatre axes : RE:THINK l’automobile dès sa conception ; RE:USE au maximum les matériaux et les batteries ; RE:DUCE les émissions de CO2 et l’impact de chaque étape de la production ; RE:CYCLE pour donner une seconde vie aux composants. « Rouler en 100% électrique n’émet aucune émission carbone à l’usage mais si on n’a pas de comportement vertueux sur  l’ensemble de la chaine de valeur, alors on ne résoudra pas le problème », insiste Maryse Bataillard, chef du service communication corporate et RSE chez BMW Group France.
Ainsi, BMW projette de réduire de 40% ses émissions de CO2 par voiture sur la totalité de son cycle de vie d’ici 2030. Dès 2023, la marque MINI proposera des intérieurs sans cuir d’origine animale, proposant matières recyclées, d’origine végétale. La démarche sera dupliquée à la marque BMW, plus tard. L’année prochaine, BMW Group comptera 13 modèles 100% électriques en circulation.

Comment sécuriser nos approvisionnements de la façon la plus responsable possible et préparer l’avenir dans le respect des droits de l’homme ?

Elle est là, la démarche holistique de BMW Group France. Aujourd’hui, toute l’énergie sourcée pour ses usines est renouvelable et les sites de production sont neutres en carbone. À partir de 2024, ce seront ses fournisseurs qui passeront le cap.
« C’est important pour les flottes d’entreprises à l’heure où les chefs d’entreprises sont attentifs à la façon dont leurs fournisseurs agissent sur les droits environnementaux et humains », explique Maryse. Et qui dit véhicule électrique dit extraction responsable des matières premières. BMW ne s’approvisionne plus par exemple en Cobalt, qu’en Australie et au Maroc dans des mines où les conditions d’extraction respectent les droits de l’homme et l’environnement.

Changer les usages, bien évidemment, mais tout en prenant en compte le besoin et la réalité des déplacements

Pour BMW, il ne suffit pas de mettre en circulation des véhicules électriques. Il faut également lever tous les freins liés à l’usage et à la recharge. Partenaire du réseau de recharge IONITY, 7 000 bornes devraient être déployées progressivement sur les autoroutes européennes. L’électromobilité aujourd’hui passe par la gamme étendue des produits mais également tous ces services complémentaires tels que les solutions de recharge BMW Charging que le groupe propose pour simplifier au maximum l’expérience client. 

 

BMW – MINI – Chartres

14 Rue Gilles de Roberval – Zone Archevilliers
28630 Nogent-Le-Phaye
02.37.88.08.80

BMW – MINI – Dreux

7 Boulevard de l’Europe – C;Cial Plein Sud 
28500 Vernouillet
02.37.38.94.20

 

 

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La JCE de Chartres et sa région fête ses 60 ans

Depuis 60 ans, la Jeune Chambre Économique (JCE) de Chartres et sa région confirme son positionnement d’incubateur de leaders citoyens. L’association compte 22 membres qui œuvrent au profit du territoire via différentes actions qui répondent toutes à un enjeu économique, sociétal ou environnemental. Elle représente aussi une manière de s’engager dans l’associatif autrement. Seul impératif : être âgé de 18 à 40 ans.

La JCE française a été créée par Yvon Chotard en 1952. Quelques années après la fin de la Seconde Guerre mondiale, un collectif de jeunes s’est réuni autour de mêmes ambitions : assurer une paix durable et éternelle ainsi qu’une justice économique en France. En d’autres termes, comment reconstruire la France en évitant que d’autres conflits se reproduisent ? Outre-Atlantique, le concept existait déjà : la Jeune Chambre Économique Internationale (JCI). C’est comme ça qu’est née la JCE française et, 11 ans plus tard, la JCE de Chartres et sa région. En 60 ans, le crédo n’a pas changé mais toutes les actions de l’association s’appuient depuis 2015 sur les Global Goals du développement durable lancé par l’ONU.

La JCE de Chartres et sa région à l’origine d’actions territoriales bien connues des euréliens

La JCE de Chartres et sa région incube des projets qu’elle transmet ensuite à d’autres acteurs : associations, chambres consulaires, collectivités, entreprises… Il y a dix ans, elle a lancé le marché de producteurs Je Croq’Eurélien. Depuis, c’est une association de producteurs qui a repris le flambeau de cet événement ancré dans l’esprit des euréliens. L’année dernière, elle a aussi organisé un « Handi village » sur la Place des Épars au mois de juin. L’opération a valorisé et fait connaître toutes les formes de handicap, visibles et non visibles. L’action a été transmise à APF France Handicap qui s’attachera à reconduire l’événement ici ou ailleurs.

 

Prendre part à la vie économique et sociétale locale

Pour rejoindre la JCE de Chartres et sa région, il y a un critère unique : être âgé de 18 à 40 ans. Étudiants, ouvriers, employés, cadres, responsables ou dirigeants… L’association est ouverte à tous, quel que soit l’horizon sociale et les ambitions de chacun. Le membre apporte ses compétences à la JCE et la JCE, en retour, dispense des formations au membre. « Nous poussons les jeunes à prendre des responsabilités par l’action et grâce à la formation. Prise de parole en public, pitcher un projet, gérer son stress, gérer son temps, tenir un budget ou une assemblée générale… Tout cela contribue à la montée en compétences à titre personnel et professionnel du membre », explique Caroline Richard, la présidente de la JCE de Chartres et sa région.

Pour en savoir plus : chartres@jcef.asso.fr

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